Sabine Dizel a découvert le sténopé pendant ses études à l’Ensad (Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris), et ne l'a jamais quitté depuis. En parallèle, elle a soutenu une thèse sur le sténopé à l'université Paris I La Sorbonne et poursuit ses recherches en arts plastiques. Cet aller-retour entre recherches théoriques et pratique artistique n'a eu de cesse de nourrir son travail photographique.
Elle a enseigné les techniques du laboratoire photo argentique aux Beaux-arts de Paris, où elle a coordonné l'enseignement  technique de la photographique. Aujourd'hui, elle est enseignante en arts plastiques à Nantes. 

Sabine Dizel a été membre d'Ophoma, collectif de photographes résolument attachés à une forme de photographie qui se nourrit de la survenance d’aléas et du French Pinhole Center, collectif de photographes pratique la sténopéphotographie.